Pour pouvoir vous parler de mes créations de fin d’année, il me faut retourner aux origines :
Été 2018 : Retour aux sources, dans les maisons de mes grands-parents pour des vacances estivales.
L’occasion de redécouvrir des objets, lettrages qui me plaisent ou m’attirent. Engrais pour de futures créations…que vous avez pu découvrir fin 2018 à la boutique éphémère des créateurs et qui arrivent enfin sur le site, il était temps!
Ça passe par la mobylette bleue ciel de mon grand-père qui n’avait pas tourné depuis 1986 et sur laquelle j’ai fait mon 1er tour de mob 32 ans plus tard. Logo, lettrage, même le compteur respire le vintage.
L’enseigne de la confédération nationale de maréchaux charrons forgerons qui trône à présent dans mon atelier. Mon grand-père était menuisier-charrons. Et pour la petite confidence, j’ai choisi le terme « Atelier » pour mon activité, à cause de l’atelier de mon grand-père, les moments passés, les bricolages, l’atmosphère…

Le logo de la mobylette bleue ciel du grand-père 
Le lettrage Mobylette sur le carénage 
Le compteur de la mobylette 
Enseigne vintage maréchaux-charrons 
Ancienne machine 
Outils de menuisier
Et bien entendu, tous les petits trésors croisés, vieux objets : radios, livres, manuels scolaires, tissus avec des motifs et lettrages qui fleurent bon le rétro.

Poste de radio Point Bleu / Etna 

Vieux manuels de dessin 
Livres d’écoles 
Motif floral sixties 
Le poste de radio années 70 
Motif carrelage 
Le baromètre dans son jus avec le papier peint d’époque 
Charmant flacon rétro
De ces inspirations, sont nés (pour l’instant) :
L’horloge sixty, néo rétro : mariage du cadran en bois mat (MDF peint ou en contreplaqué chêne) et du plexiglas brillant blanc ou noir. On y retrouve la touche vintage avec des matières et couleurs actuelles :

Horloges sixty 
Jaune, violet pop, bleu ou en chêne brut
Le lettrage rétro me trotte beaucoup dans la tête, j’ai eu l’occasion de faire un clin d’œil chauvin avec ces portes-clés en bois de lutherie et ces plaques murales décoratives en bois également. Mais je sais que je n’en ai pas encore fini….
